NOTRE DAME
Hé vous-autres, je te dis que la femme louisianaise est la femme la plus heureuse du monde, mais en même temps, la plus malheureuse. Je trouve de ma vie que ce malheur, ça résulte la plupart de temps à cause des n’hommes, soit qu'ils sont méchants ou non. Mais leur bonheur, pourtant, ça vient de leurs âmes. Comme ça, ces femmes apprennent les petits notre joie de vivre, notre manière de vivre qui nous nourrit quand la vie est dure.
Marie Carmouche faisait l’exemplaire de cette qualité de femme. Elle a maintenu en secret sa joie de vivre, en secret parce que les n’hommes de sa vie lui causait souffre trop beaucoup. Après la mort de sa mère, son père pouvait pas s’occuper ses trois enfants. Le deuil lui a rendu fou. Ses frères, plus âgés que lui, étaient capable de trouver d’ouvrage, mais elle a qu’eu quinze ans. À cause de ça, elle a dû habiter avec son nonc, la femme duquel est morte depuis années ; c’était ce n’homme qui a commencé d’apprendre lui sur le malheur. A la première occasion, elle a quitté cette maison des enfers pour rejoindre ses frères à la Nouvelle-Orléans.
C’était là-bas qu’elle a rencontré à Hilaire Robiskie, l’n’homme de sa vie ; il l’a appris sur le bonheur. Elle connaissait la joie, et bientôt elle était engrossée avec leur fils. Trop à la peine de sa famille, son mari était nègre. Toute sa famille l’a renié, mais pour elle, ça n’importe rien. Elle connaissait l’amour, et c’est ça qui comptait. Elle avait l’église, son fils, et son mari, donc comme ça, elle habitait joyeusement pendant de plusieurs années, jusqu’à son mari est mort. C’était son cœur. Le choc était trop. Elle a jamais rétabli émotionnellement, et peut-être à cause de ça, elle a permis son fils faire ce qu’il voulait.
Son fils, Robert, il était presque un’homme, situé à l’âge où il était capable de tout ce que capable un vrai n’homme. Malgré ça, il a manqué la sagesse de faire ce qu’un’homme devrait faire. Donc, le bonheur de maternité a devenu le malheur d’un pas bon fils. Il avait de beaucoup difficultés avec la police et les femmes—le deux frappaient la porte de Marie à n’importe heure, jusqu’à elle a devenu indignant. Ç’a cassé son cœur, mais elle a dû expulser lui.
Pendent beaucoup de mois, elle était capable de prier en paix et jongler sur son mari parti. Ça fait plusieurs d’années qu’il était mort, mais elle brûlait une bougie blanche chaque jour pour lui. En ce jour-icitte, elle était joliment plongée dans ses pensées qu’elle a sursauté quand une claque a sonné à la porte.
Marie a ouvert la porte pour découvrir une femme enceinte jusqu’à la pointe à exploser.
« Quoi tu veux, hein ? Marie l’a posé.
— Bonjour, l’autre a répondu. Je suis… je m’appelle Juana.
— Juana ? Si t’es après vendre quelque chose, je le veux pas, merci beaucoup.
— No, no, no, Juana a continué, euh, est-ce qué, look, my French isn’t too good, but Robert told me to come here. Euh, Robert m’a dit –
— Ô, Robert ! Tu connais mon Robert… est-ce que… ? Non, non, non, elle a balbutié. J’ai dit à lui pas de rentrer back icitte avec des petits. Il est dans le char-là ? Dis-le viens voir.
— No, elle a dit doucement. Il est en prison.
— Prison ! Prison tu dis ! J’sus pas étonné, je te dis, et je devine que asteur il me veut s’occuper du petit. Non. Je te dis, non. J’ai mon petit chèque, c’est tout. Si t’as besoin d’aide, va tracasser ta famille. Je peux pas t’aider.
Marie a fermé la porte, aveuglée au besoin de Juana. À travers les stores de fenêtre, elle a regardé tandis que Juana s’a tenu debout un moment avec ses mains sur son estomac. À elle, ça semblait que Juana était après de pleurer, mais elle peut pas voir, pas vraiment. Juste quand sa conscience la piquait, Juana a monté le char et a parti.
Marie pouvait pas dire cofaire elle a comporté comme ça avec la fille. C’était vrai que le Bon Dieu apprécierait pas son comportement. Même si elle sentait qu’elle avait plus de famille, la famille, puis, c’était la famille. Une sens de culpabilité l’a imprégné sa tête. Mais, à l’autre côté, elle était épuisée. Elle voulait mourir, c’était vrai, donc elle priait et priait d’être finalement avec son mari, mais le Bon Dieu, en sa sagesse sans limite, était pas paré de la prendre. Ç’a la rendu en colère. Fâché avec son pas bon fils qui avait toujours de troubles ; fâché avec son mari, qui l’a laissé là-bas toute seule ; fâché avec son père qui était si frêle qu’il l’a laissé avec son maudit nonc ; et surtout, fâché avec le Dieu qui l’a rendu ainsi. Non, elle a assez eu de la vie. Elle préférait prier, et quand elle pouvait plus prier, elle rempliait le silence avec la télé. Ç’avait devenu son secours, particulièrement ses shows religieux.
Sa tête après bourdonner à cause de la rencontre à Juana, elle a opté pour la télé. Aujourd’hui, quelqu’un parlait avec un groupe des femmes qui avaient fait leur pèlerinage à Međugorje. Le Notre Dame avait apparu au monde-là pendant que son mari était en vie. Le couple avait parlé tout le temps sur la possibilité de faire un tel pèlerinage. Ça arriverait jamais. Elle pleurait tandis qu’elle a écouté les femmes sur la télé parler de la morte d’une jeune femme, mais elle pleurait pas un seul larme pour Juana ni le petit-enfant.
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Marie a rentré back chez lui après l’église pour trouver Juana après s’asseoir sur les escaliers à la porte. Juana portait un bébé dans les bras, et cette fois, Marie pouvait pas spéculer sur le fait si elle était après pleurer ; ses yeux rouges témoigne à la vérité.
« Bouge-toi, elle a dit. J’ai un mal au dos, il me faut s'allonger.
— I don’t – Attends ! Pas vite ! Ça fait deux mois que j’étude le français pour parler avec toi, please, s’il vous plait. Nous avons besoin de toi.
— Moi ? Pourquoi ? J’sus presque morte. Mon âme m’a parti avec mon mari. J’sus un cadavre ambulant. Ton fils mérite plus que ça.
— Euh. Look. Je comprends… Je comprends un peu… Il est ton—!
— Ça veut dire quoi ? Marie l’a interrompu. Que je devrais m’occuper avec les péchés de mon maudit fils ? J’ai déjà dit et je dis à nouveau : va tracasser ta famille !
Juana a tâtonné l’inondation des mots parlés vites.
« Famille ! Juana s’a exclamé. J’ai aucune famille.
Marie a fait une pause.
« Aucune famille ? Ils sont morts ?
— Non, est-ce que, ils ne veulent pas moi.
— Hein ? Ils veulent pas toi ?
— Non, they cut me off, euh –
— Cut ? Couteau ? Marie coupait l’air à la main.
— Non ! Non… euh… ils ne veulent pas moi parce que je suis avec ton fil.
— Fils, Marie l’a corrigé. Ils ont de bon raisonnement. Mon fils, il est pas bon. Tu vois qu’il est en prison.
— Euh, elle a continué sans comprendre tout que Marie avait dit, ils n’aiment pas ton… fils, parce qu’il est nègre.
Marie a presque tombé, sauvé par la rampe d’escalier. Là, elle s’a assise à côté de Juana. Elle cherchait dans son sac à main et sorti un paquet de cigarettes.
« J’essaye et essaye d’arrêter de fumer, mais juste quand je crois que j’sus fini avec tout ça, pie-ya ! le tracas me trouve. Ô, désolé, je devrais pas fumer autour du bébé, moi, j’ai fumé tout ma grossesse, et ç’a fait aucune impacte, je te dis. Mais je dois cesser de fumer, et ça sera une bonne raison.
Marie a placé les cigarettes back dans son sac et a regardé le ‘tit-enfant dans les bras de Juana pendant un moment.
« Il est mignon, Marie a dit avec un soupire. Il a l’air de son père. Quoi c’est son nom ?
— Robert, Juana a répondu. T-Robert.
Les deux regardaient le jeune homme dans ses bras.
« Tu veux… ? Juana a posé tandis qu’elle soulevait l’enfant pour signaler de le prendre.
— Non, non, non, Maria a dit. Pas aujourd’hui. T’as personne ? Vraiment ? OK, je te dis ce qu’on va faire, nous-autres. Vous-autres peut rester icitte, mais il faut travailler, et il faut payer. Tu me comprends ? Payer ! L’argent !
Elle frottait son pouce contre l’index et le majeur, le signe universel pour l’argent.
« Je travaille, Juana a répondu. Je peux travailler de plus avec ton aide.
— Ouais, ouais, une chose encore. Chez la grand-mère, on parle français, pas d’anglais. Pas d’anglais. Comprends ?
Juana a fait le signe de tête.
« OK, Marie a dit. Allons dedans. Tu peux voir ta chambre. Viens.
Marie était pas prête admettre la femme chez elle, mais après avoir entendu que la famille de la fille l’avait renié à cause de fait Robert était nègre, c’était aisé pour elle se mettre un peu à la place de Juana. Après sa propre famille avait fait la même chose à elle, elle était misérable. Mais elle avait Hilaire, et il était un bon homme, capable de provisionner pour sa famille. Son fils, cependant, il pouvait pas provisionner pour sa famille dès l’intérieur d’un prison. Donc, elle raisonnait, l’obligation lui a incombé.
****
Au début, Marie aimait pas d’avoir d’autres gens violer l’espace bénit et silencieux qu’elle avait créé. Pour échapper les cris de l’enfant, elle s’a retiré à sa chambre. Là, elle priait et priait, mais pas d’être avec son mari. Elle priait que l’enfant cesserait son train. Même pire, la télé avait devenu le royaume du petit quand Juana était au travail. Ça semblait que les maudits dessins animés étaient la seule chose qui pouvait calmer T-Robert.
Après plusieurs mois, les trois avaient trouvé un rythme, malgré le fait qu’ils partageaient pas une langue. Juana était après apprendre le français, c’était vrai, mais ses maîtres l’ont appris le français-français. L’effet était des temps en temps, Marie était à peine de comprendre ce qui disait Juana.
« Cravate ? Marie a demandé. De quoi tu parles, cravate ?
— Non, pas cravate, Juana a répondu, crevette.
— Corvette ? Ces putains chars vites ?
— Non ! Pas un char. C’est un animal. Ça reste dessus… dessous l’eau. On mange ça frite ou bouillé.
— Ô ! Marie s’a exclamé. Tu parles de chevrettes ! Jamais de ma vie j’avais entendu de ces crevettes. Écrevisses, ouais, mais rien sur ces crevettes. Ce mot a l’air de quelque qualité d’une montagne – l’alpiniste a tombé dans la crevette ! Ça, c’est vraiment comment ils l’ont dit là-bas ? Jamais de ma vie…
Pendant que Juana sortait pour faire l’ouvrage, Marie s’occupait de T-Robert. Elle avait oublié que les enfants aimaient regarder les mêmes shows à nouveau et à nouveau, qui la rendait fou. Typiquement, elle était si fatiguée quand Juana rentrait back qu’elle fuyait immédiatement à sa chambre. Là, elle prierait jusqu’à elle était sûr que Juana et T-Robert avaient retirés au lit, et après qu’elle était certaines, elle irait à la cuisine pour manger en paix. Juana avait suggéré que la famille devait manger ensembles, mais pour Marie, son repas secret était le seul moment qu’elle pouvait être seul. Dès le moment qu’elle a réveillé, ses journées étaient remplies de obligations et bruit. D’ailleurs, elle préférait le manger créole, pas habituée comme elle l’était à ces épices Mexicains de Juana.
Quand Juana a fait le menudo pour la première fois, Marie comportait si cette soupe était pleine de fatras.
« Quoi y a ? Marie l’a posé.
— Menudo ? Juana a répondu. Tu connais menudo ?
— Non, j’ai jamais entendu parler de ça. Ç’a l’air dégoutant. Quoi c’est ça-là, ce nid d’abeilles ?
— Euh, Juana a hésité. Tripe ? Tripa ?
— Ô, Marie s’a exclamé, le tripe ! Non, non, non, moi, j’aime pas ça, pas du tout. Quand je fais cuire mon far de riz, je se serves pas des gésiers ou de la foie. Non, je crois pas que je vas tenter cette maudite soupe.
— Peut-être un jour tu peux faire un gombo pour nous ?
— Non, non, non, Marie a dit. Je fais plus cuire. Il y a beaucoup de recettes, tu peux trouver d’un, j’sus sûr.
— Ok, Juana a dit. Pas de tripes. Pas de gombo. Au moins tente mes tortillas. Je les ai faits par main.
Maria a examiné les tortillas avec incrédulité.
« Ça consiste de quoi ?
— Maïs. Un bon maïs.
Marie a pris un tortilla et l’a mordillé. Son visage parlait de la validation ambiguë.
« Mais dis-moi, Marie a dit, cofaire tu fais la cuisine Mexicaine mais tu parles pas l’espagnole ?
— Mes grands-parents, ils sont venus ici pour devenir Américains. Ils étaient très, très fier. Donc ils ont enseigné pas l’espagnole à leurs enfants. Maintenant je parle français… un peu étrange, non ? J’aime que les créoles maintiennent leur langue malgré le fait qu’ils font partie des États-Unis. Toute ma vie je me sentais mal à cause de fait que j’ai perdu mes racines…
— Ces putains ‘Méricains. Ils ont tenté prendre notre langue, mais on a fait un grand tracas. Le français est et sera toujours la langue de la Louisiane. Mais pas comme ces maudits Français, on peut adopter des mots Mexicains, hein ? Je dis que, à partir d’aujourd’hui, les mots tortilla et menudo sont de mots louisianais.
Les deux riaient.
« Okay, a dit Marie. Vous-autres profite de votre menudo. Je vas retirer à ma chambre.
Avant de retirer, Marie a mis le demi mangé tortilla sur le comptoir.
****
L’enfant était après brailler et brailler jusqu’à que la pointe que Marie était prête quitter la maison. Les dessins-animés marchait pas de lui calmer. Il avait pas faim, son couche était propre. Non, Marie pouvait pas être sûr ce qui était la problème. Donc elle a cédé. Comme un automate, elle était après changer les chaînes sans avoir rendu compte quel shows chaque montrait. En fait, elle arrêtait seulement car le son d’un chaîne particulière a causé T-Robert à cesser de pleurer. Elle a changé le chaîne une fois encore pour le tenter, et voilà, T-Robert a commencé de pleurer à nouveau. Elle a changé back, et il a arrêté.
Par hasard, la chaîne était un de ces chaînes religieuses qu’elle aimait beaucoup. Le monde était après chanter, mais même après les chansons avaient cessés, le petit enfant était séduit par la télé. Un tel hasard, elle raisonnait, dois être un signe du Bon Dieu.
Reposant devant la télé était comment Juana les a trouvés quand elle a rentré back. Elle a presque laissé tomber les sacs qu’elle portait.
« Bonsoir, a dit Juana, qu’est-ce que se passe ici ? T’as trouvé quelque chose que vous-autres peut regarder ensemble ?
Juana a mis les sacs sur le comptoir. Marie l’a suivi à la cuisine.
« Je peux pas l’expliquer, Marie a dit, quand j’ai trouvé ce show sur Notre Dame de Međugorje, il a cessé de brailler, c’était une vraie miracle.
— Medge-a… ? Juana a demandé.
— Međugorje, Marie l’a corrigé. Notre Dame de Međugorje. Notre Dame ?
Juana a secoué la tête en signe de « non ».
— Le Vierge ? Mary, la mère de Dieu ?
Marie a fait le signe de croix. Juana l’a répété sans réaliser.
« Oh ! s’a exclamé Juana. La Virgen ! Ouais, je comprends ça. De Međugorje ?
— Ô ! C'est un lieu au Europe ayoù elle a apparu depuis des années.
— Pareil à la Virgen de Guadalupe !
— Ouais, Marie a dit, j’ai entendu parler de ça. T’as fait pèlerinage là-bas ? Mon mari, paix à son âme, nous-autres a fait plans d’aller au Europe ensemble. Pour cette raison je dis que c’est un miracle que T-Robert aime ce show-là.
— Peut-être, a répondu Juana, on pouvait voyager là ensemble ? Moi, tu, et T-Robert.
Marie faisait une pause puis a dit : « J’aimerais ça beaucoup, elle a dit. Peut-être on peut aussi visiter ce Notre Dame de Guadalupe.
Les deux disaient rien tandis qu’elles à déballer les grocéries.
« J’ai une idée, a dit Marie. On peut écouter un ‘tit-brin de musique alors que tu fais ton manger, et je peux m’occuper avec T-Robert.
« Aussi, elle a continué, la fête de dindes et Noël viennent talheure, c’est la saison de gombo, donc l’heure a arrivé apprendre toi comment je fais mon gombo. Peut-être pendant cette fin de semaine ?
— J’aimerais ça bien, Juana a répliqué. Pour la Navidad… Noël, nous faisons de tamales. Tu connais de tamales ?
— Tamales !? Maria s’a exclamé. Je connais de tamales, mais ça fait beaucoup des années que je mange pas ça. Ma mère m’a fait ça de temps en temps. C’était parmi mes plates préférés. Je connais pas si vous-autres fait ça de la même manière, mais j’aimerais le tenter, j’sus sûr que ça va me rappeler de ma mère.
— J’aimerais ça aussi, a ajouté Juana.
Marie a mis la radio en marche, la musique en un créole plaintif, accompagné par l’accordéon. Juana a pris T-Robert dans ses bras et dansait avec lui.
« Ça me rappelle, Juana a dit en voix haut, de la musique de mon père. Tejano. Pur Tejano ? Tu connais Tejano ?
Marie pouvait pas l’entendre. Elle était après danser seule, mais elle a exactement mis ses bras autour quelqu’un comme si elle était après danser avec un n’homme inaperçu. C’était claire que l’n’homme inaperçu avait l’initiative, et Marie lui suivait. Juana posait pas son question à nouveau. Plutôt, elle a recommencé danser avec son fils.
Marie voyait pas tout ça. Elle étreignait son mari. Il avait besoin de raser, mais son odeur était la même que toujours, de pétrole à cause de son ouvrage et beurre de karité. Elle avait prié et prié d’être avec son mari dans la vie future, mais c’était lui qui avait revenu back. Elle connaissait que la mort pouvait pas séparer toujours le deux, mais c’était claire que la vie, c’était pas finie avec Marie. Elle était de plus en plus sûr avec chaque pas.